François-René de Chateaubriand

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 François-René de Chateaubriand (1809) – Anne-Louis Girodet

Lorsque j’étais au couvent, j’ai lu le livre Le Génie du christianisme qui est sorti en 1802 et j’ai découvert des similarités avec ma vie. Ce livre a pour objet de montrer l’excellence de la religion chrétienne sous un aspect tout nouveau : la beauté poétique. Ce qui m’a plu n’est pas la partie religieuse mais plutôt l’apparence des robes de l’époque et le romantisme. J’adhère aux idées de Chateaubriand qui démontre que la religion est plus importante face à la culture antique. La religion chrétienne est pour moi la plus poétique, mais aussi la plus favorable à la liberté, parce qu’on est libre d’écrire ce que l’on pense.
J’ai également lu le livre Atala sorti en 1801. La mère d’Atala a fait la promesse que sa fille resterait vierge, et pour ne pas succomber à la tentation, Atala s’empoisonne, ce qui m’a beaucoup touchée. Elle a fait le choix de mourir plutôt que de trahir la promesse qu’a faite sa mère envers Dieu.
Atala, ne pensant pouvoir se marier, s’ôte la vie, alors qu’il était possible pour elle d’avoir une issue heureuse, sans trahir sa mère et tout en respectant sa foi. Le livre m’a montré qu’Atala aimait sa mère. Comme j’aimerais que ma mère soit encore de ce monde pour lui montrer mon amour.